/image%2F1310174%2F20201101%2Fob_97ed7e_le-jeu-de-la-dame-affiche-1355490.jpg)
En cette période de confinement, les veinards qui sont abonnés à Netflix vont pouvoir se jeter sur cette nouvelle mini série en 7 épisodes "The Queen's Gambit" pauvrement traduit en français par "Le Jeu de le Dame"...
Une série sur le monde des échecs bien sûr, où le Jeu est très présent mais qui réussit l'exploit d'embarquer tout le monde joueurs ou non joueurs.
Les joueurs, parce que l'ambiance de ce sport est parfaitement rendue - à l'exception de la rapidité de jeu, mais c'est sans doute inévitable - et sans aucune fausse note technique (le fait que Garry Kasparov soit noté au générique comme consultant n'y est sans doute pas étranger!). Une histoire de pure fiction où l'on croise quelques noms bien connus : Morphy, Philidor, Capablanca, Alekhine... et où l'évocation de Fisher, Spassky et de quelques autres contemporains de cette histoire "années sixties" et à peine subliminale!
Les non joueurs, parce que la bataille sur l'échiquier se double des combats personnels de Beth Harmon contre elle même, les blessures de son enfance et ses addictions... et que les acteurs sont juste excellents, notamment Isla Johnston et Anya Taylor-Joy époustouflantes dans le rôle principal durant l'enfance et à l'âge adulte.
On fait une partie?
/https%3A%2F%2Fwww.ecranlarge.com%2Fmedia%2Fcache%2F1600x1200%2Fuploads%2Farticles%2F000%2F000%2F000%2Fle-jeu-de-la-dame-photo-anya-taylor-joy-1355392-large.png)
Le Jeu de la dame : critique échecs et drame sur Netflix
PAWN SACRIFICE 1967. Beth Harmon (Anya Taylor-Joy) se réveille encore habillée dans la baignoire de la chambre d'un hôtel de luxe parisien après une nuit visiblement mouvementée. Après avoir ...